Et elles devinrent généalogistes amateures

Des généalogistes amateurs autour d'une table avec le résultat de leurs recherches sur le mur et sur le bureau.

Quand on est généalogiste amateur, se retrouver dans une situation professionnelle compliquée, est un élément moteur pour reprendre notre passion, histoire de s’occuper le cerveau.
C’est ce que j’ai fait depuis le début de cette année, en continuant de travailler à trouver des informations sur LEREVEREND Maurice Eugène !
Promis, je mettrai le site à jour d’ici peu 😊

Je pensais donc faire cela tranquillement dans mon coin.
Je n’aurais jamais imaginé ce qu’il s’est passé depuis le mois de mars.

Lors d’échanges matinaux autour de théine et de caféine, il est apparu différentes questions de la part de mes collègues de travail qui me demandaient à quoi j’avais occupé mes week-ends.
Je leur ai donc parler de cette passion qui me poursuit depuis plusieurs décennies.
J’ai eu le droit bien évidemment à la traditionnelle question : “Tu es remonté jusqu’où?” – question que tous les généalogistes amateurs ont déjà entendu. Mais au delà de cette question plusieurs intérêts se sont alors manifestés.

Au cours des échanges des questions similaires revenaient, toutes voulant comprendre comment faire des recherches :

  • Quelles informations pouvaient on trouver facilement?
  • Dans quels actes et où trouver ces actes ?
  • Comment les exploiter?
  • Comment les synthétiser?
  • Comment solliciter de l’aide lorsque l’on est loin des départements qui concernent nos recherches ?
  • Quels outils utiliser ?

De la curiosité à la pratique

Autant de question auxquelles il m’a fallu répondre, le plus précisément possible, chaque cas étant particulier.

Cela fait maintenant plusieurs mois que nos pauses nous servent à échanger sur leurs généalogies. La mienne est pour le coup au ralenti, mais j’ai le temps de m’y remettre.
Je profite de notre quotidien pour leur partager les résultats de ma veille et qui peuvent les concerner. Des nouveautés sur les outils, nouveaux documents disponibles sur les archives départementales pouvant les concerner,…

Cette équipe n’est pas nombreuse, mais est ce vraiment le nombre qui fait la qualité?

Je vous présente l’équipe des généalogistes amateurs :

  • Valérie, qui écume tous les registres d’Isère et de Savoie dans le but de retrouver tous ses collatéraux
  • Céline et ses filles qui ont fait un remarquable travail de recherches avec un arbre papier de plus de trois mètres de long !
  • Elodie qui se promène entre les châteaux de la Loire et la Belgique,
  • Laetitia qui nous fait voyager de la Savoie à la Pologne,
  • Delphine, qui a la ‘chance’ d’avoir des ancêtres alsaciens
  • Claire et une ascendance Savoyarde intéressante.
  • Brigitte avec sa Marie Louise (elle comprendra) qui nous fait un roman mélangeant toutes les informations trouvées dans les documents des Archives de la Seine Maritime et laissant libre court à son imagination (certainement la plus chanceuse du groupe 🤣)

Chacun d’entre nous à sa raison pour se plonger dans ces recherches : quête de la vérité ou le besoin d’en savoir plus sur nos origines et nos familles.

Au delà des milliers de documents vus, trouvés et déchiffrés, nous avons de bons échanges constructifs sur les méthodes et les résultats.

Merci mesdames pour votre attention et votre intérêt. Jamais je n’aurais cru que l’on puisse trouver un jour ce point commun entre nous tous.
Je suis bluffé par la passion qui vous habite et surtout par vos interrogations permanentes.

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1 réponse

  1. Valerie ozen dit :

    Parfois la généalogie est une simple idée stockée dans un coin de la tête, un éventuel futur passe-temps qu’on remet toujours à plus tard, un peu par paresse mais surtout parce qu’on ne sait pas trop comment s’y prendre. Et puis un jour vous apprenez au détour d’une conversation que votre collègue du bureau (nomade) d’à côté est un féru de généalogie, une pointure, un cador qui comme ça, pendant une pause déjeuner, vous déniche en un clic l’acte de naissance d’un ancêtre et le fait revivre l’espace d’un instant sur un écran. Merci infiniment Franck pour ta générosité et ta disponibilité, et de m’avoir permis d’oser faire pousser mon arbre. Valérie

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